Rencontre prédestiné

Sanya se leva et répondit à Prach : "ce serait avec plaisir que de faire partie des "Lampion d'Argent" Messire Prach. Je mettrai volontiers mes compétences et connaissances à votre services, disposez de moi comme bon vous semble"

Sanya alla dans la cuisine et revint avec une cruche et un calice, qu'elle remplit d'un liquide ressemblant à de l'alcool de fleur de cerisier.

"Si je puis me permettre, dit-elle en buvant un tiers du contenu, je vous prête allégeance en cet instant en buvant un tiers de cet alcool et vous reconnait en tant que supérieur et non comme égal si j'en avais bu la moitié, je promets de vous suivre jusqu'à ce que vous ne souhaitez plus de moi et de vous soutenir dans vos actions. Buvez les deux autres tiers s'il-vous-plaît, fit-elle en lui tendant le calice..."

Le conseiller regarda Koreron et lui répondit
"Je ne suis pas assez expérimenté pour être ton messène Koreron, il faudra que tu t'en trouve un, mais tu peux rejoindre notre groupe et revenir ici quand tu n'as aucun objectif à remplir"

Puis il fixa Sanya, la laissa parler et la vit partir. Sur le coup ça semblait étrange et c'était pour le moins inattendu puis elle revint avec un calice remplit d'alcool. Ça se sentait. Elle expliqua le rite et tendit la jarre à Majack, il la prit senti et bu jusqu'au bout. Posa le calice et dit
"D'où vient cette tradition ?"

Sanya vit Prach finir le calice et la questionner sur l'origine de cette tradition.

"Ce rite est d'origine elfique, mais aussi guerrière. Il trouve son sens dans la "Forêt de fer", où les elfes et les loups partageaient la même croyance, celle de la lune, douce et protectrice envers nous. Ce rite peut représenter la fraternité autant que l'entraide, mais aussi la soumission, comme dans une meute de loup. Cette forêt se situait sur une moitié de nord du royaume de Duss. Une partie à été rasé, tous les elfes se sont éteints et elle ne porte plus le même nom. C'est devenue une forêt lugubre sans les elfes pour l'animer et seulement les loups pour festoyer, les gens l'appellent maintenant la "Forêt Noire". Tout cela s'est passé il y a déjà un siècle de ça..."

Elle prit le calice et la bouteille et alla les ranger. Elle scrutait la table et vit que Korekon était songeur.

"Que se passe t-il Korekon, demanda t-elle, tu as l'air songeur, tu as senti quelque chose dans l'air?"

La voix de Sanya ramena Korekon a la réalité, quelque chose le de rangait mais il ne savais quoi. Préférant ne pas inquiéter inutilement toute la tablée il répondis tout en restant sur ses gardes:
"Non désolé, ce n'est rien juste une absence"

Des cris de panique venant de la cuisine fit sursauté toute l'assemblée.
Sanya s'y précipita en prenant le couteau avec lequel on avait servi la viande.
Elle entendit loin derrière elle la voix du grand sage demander ce qui se passait.
Elle arriva devant la cuisine et vit des créatures humanoïdes grotesques avec des ailes de peaux, comme une chauve-souris, attaquant les moines de cuisine qui n'avait pas reçu de formation militaire.
Elle s'aperçut avec dégoût que l'un des monstre dévorait les entrailles d'un apprenti...

[HS : On peu mettre le post en l'an 245 après le conseil que j'ai eu car c'est plus logique vu ce que je demandes et le fait que Garn soit avec moi Merci d'avance]

Majack accourut en même temps que Sanya et s'étonna des réflexes de cette demoiselle.
Il arriva devant les monstres, Il était assez imposant et armé de presque rien, Majack profita de ses pouvoirs fit monté un bloc de pierre qui montât et poussa les autres taverniers apeurés hors du combat.
Puis il dégaina son épée approcha du monstre le plus proche Et planta son épée de toutes ses forces dans le genou de la créature, si fort que le métal toucha l'os.
Le monstre tomba au sol mais ce n'était pas fini pour lui il tenta de planté de ses griffes dans le combattant qui esquiva mais malheureusement pas assez bien sa jambe fut toucher par ce monstre. Majack hurla sa douleur tomba au sol et lâcha son épée il arracha un bout de sa chemise qui valait comme même son pesant de pièce de cuivre pour en faire une compresse. Il prit à sa ceintures une espèce de pâte qu'il appliqua à son morceau de tissu qu'il plaça ensuite sur sa blessure. Peu de temps après la blessure s'arrêta de saigné. Il fit quelques gestes des mains et un morceau du toit se détacha et s'écrasa sur la créature au sol, la pierre devenait rouge...

Sanya ne fut pas le moins du monde étonné par l'aisance de l'alpha pour avoir vaincu un de ces monstres si facilement.
Elle voulut tout finir avant que les autres arrivent. Les monstres était quatre, un est mort, il en restait trois...

*Cela va être dur...*

Elle empoigna le couteau de cuisine et commença une danse funèbre qu'elle seul savait la chorégraphie, en tuant deux monstres elle fit face au dernier qui s'enfuyait avec des cris indignés...

Korekon qui regardais cela vu la dernière créature s'enfuir. Il lança donc son sort pour l'immobiliser a fin que l'on puisse l'interroger plus tard.

Majack applaudit pour vider un peu la pressions qu'il y avait, Témari arriva et plaça ses mains sur la plait de Majack, et affirma
"Maintenant tu peux marcher, quand même quelqu'un de ton rang est pas censé faire de telle folie !"

Majack répondit en rigolant
"Tu sais faux bien impressionné le peuple"
Un léger rire ne put être contenu par Témari

Majack s'approcha de Sanya en boitant posa sa main sur son épaule et dit "Bien jouer, mais je crois qu'il est temps d'aller dormir, Pas mal non plus Korekon"
Il était au alentour de vingt heure. Le soleil c'était couché Majack déplaça comme il pouvait la pierre la réintégra au sol, d'autres s'en détachèrent et allèrent fusionner avec le plafond pour rebouché le trou.

"Bien Bonne nuit messieurs et mademoiselle, départ demain matin six heures !
Ulass je m'attends à ce que t'es hommes soient prêts !"

Majack en boitant se dirigea vers sa chambre. Surement décida t'il d'aller se couché car il avait été un peu humilié de s'être fait toucher dès le premier monstre...

Sanya s'inclina devant cette décision mais ne le prit pas vraiment pour un ordre et alla commencer les préparatifs pour le lendemain, éliminant au passage le monstre immobilisé d'un coup de poignard bien ajusté...